Que ce soit par ses crépitements sa couleur et sa chaleur, il est toujours agréable de s’entourer autour d’un bon feu.
Comme ce soit en raison de fête ou simplement pour de la détente. La prudence devrait être toujours de mise.
Chaque année à mon voyage de pêche, après ma journée sur l’eau, j’apprécie la présence du feu le soir à la belle étoile.
J’apprécie grandement la sensibilisation des pourvoyeurs sur les probabilités du risque des incendies en forêt.
En 1994, un organisme à but non lucratif a été cré pour la protection de nos forêts contre le feu. Il s’agit de la SOPFEU.
Des employés sont répartis à travers le Québec pour la protection à plus grande surface. La compagnie comporte beaucoup de pompiers forestiers et de pilotes d’avions-citernes.
Ce qui retient mon attention c’est que d’après la SOPFEU, environ 75% des feux sont d’origine humaine.
C’est donc dire que notre action préventive peut éviter bien des dommages.
Et ce même si la période critique des probabilités des feux est au printemps, il s’agit de respecter les normes des risques d’incendie, de tenir compte de la météo et d’être en plein contrôle d’être capable de réagir en tout temps.
Je me répète toujours cette pensée : « Si un incendie est causé par ma négligence, serai-je heureuse de causer tant de dommages ? »
Perte de biens matériels, de végétations, d’abris naturels, diffusion de pollution mais surtout perte de vie humaine et animale.
Pourquoi ne pas calmer nos feux de joie pour tes feux en toute foi!…
